Août 4, 2021 | Postes à pourvoir
Vous accompagnez les entreprises dans l’optimisation de leurs processus de dématérialisation à travers des prestations de formation et de conseil.
Vos missions seront les suivantes :
Formation :
- Recenser et analyser les besoins de l’entreprise en matière de dématérialisation des factures
- Elaborer les supports de formation, la documentation adaptées aux besoins de l’entreprise
- Assurer la conduite du changement auprès des acteurs métiers
Conseil :
- Accompagner les entreprises sur la mise en place des projets dématérialisation de factures
- Intervenir au cœur des entreprises et de leurs processus métiers afin d’apporter les conseils visant à les aider à maîtriser leurs risques stratégiques, opérationnels ou financiers
- Effectuer des audits avec pour objectif l’optimisation des processus internes et leur performance
- Rédiger les comptes rendus de prestations et les recommandations
- Accompagner les directions dans la mise en œuvre de ces recommandations
- Accompagner les utilisateurs dans cette nouvelle organisation de dématérialisation
Veille et reporting :
- Réaliser régulièrement une veille fonctionnelle et réglementaire pour se tenir informé des évolutions dans le domaine de la dématérialisation
- Se tenir informé des méthodologies et outils de conseil et d’audit
- Proposer à la Direction des nouvelles prestations selon l’actualité et/ou les retours terrain
- Rédaction de compte rendus et tableaux de bord de l’activité
Gestion de Projet / AMOA:
Interface client en phase projet ou réalisation, qualification et spécifications des besoins clients, conception et spécifications, pilotage de projets en lien avec les équipes client, les équipe de réalisation, les fournisseurs – suivant les modalités de pilotage du projet
Vous serez amené(e) à vous déplacer dans le cadre de réunions, de formations ou de prestations sur site au niveau national.
Profil recherché :
- De formation Bac+3 ou supérieure, vous avez une expérience confirmée et réussie d’au moins 2 ans dans la mise en œuvre de solutions de dématérialisation
- Vous avez une première expérience dans le domaine de la gestion de projet de dématérialisation (EDI, numérisation, captures de documents, signature électronique, archivage électronique, workflow de validation documentaire, gestion électronique des documents).
- Vous connaissez les méthodologies d’audit
- Vous avez un excellent relationnel et maitrisez l’anglais.
Vous souhaitez rejoindre une entreprise à taille humaine et en pleine croissance, envoyez-nous votre CV actualisé à recrutement@icdint.fr ou remplissez le formulaire de contact ci-dessous :
Candidater via ce formulaire
[contact-form-7 id=”10804″ title=”Formulaire Emploi”]
Juil 5, 2021 | Actualités, Dématérialisation des factures, Loi de Finances 2020
Dans le sixième chapitre de la mise en œuvre de la facture électronique (Article 153 de la Loi de Finances 2020° , ICD International a le plaisir de vous rendre compte des règles sur l’annuaire des entités établie par la DGFIP.
Pour avoir le compte-rendu des derniers ateliers veuillez suivre ce lien :
https://www.icdint.fr/category/dematerialisation-des-factures/
Définition et objectifs
L’annuaire est une base de référence unique, centralisé, accessible par tous les utilisateurs de la plateforme publique (PFP) et par les plateformes de dématérialisation immatriculées (PDI) appelées aussi plateforme privées certifiées.
L’annuaire des entités a pour objectif d’assurer le bon adressage des factures, statuts et données de facturation entre émetteurs et récepteurs ainsi que la fiabilisation des données de routage mises à disposition des différents acteurs.
Le futur annuaire centralisé s’appuie sur plusieurs principes directeurs permettant de sécuriser les échanges dématérialisés prévus dans le cadre de l’obligation
- CENTRALISATION
Rassembler l’ensemble des acteurs concernés par la réforme dans un référentiel unique.
- INTEROPÉRABILITÉ
Mettre à disposition un annuaire accessible par tous les utilisateurs, directement sur la plateforme ou en mode service.
- PRÉCISION
Garantir un niveau d’information suffisant et à jour permettant le bon adressage des factures, des statuts et des données de facturation.
- SÉCURITÉ
Garantir la sécurité et la traçabilité des données contenues dans l’annuaire, notamment via la gestion des habilitations.
Ces ensembles des données sont strictement nécessaires à la bonne identification du partenaire commercial par le fournisseur et au bon adressage des factures.
Il permet également la bonne réception des factures dématérialisées et des statuts du cycle de vie.
Structure et données de l’annuaire des entités
L’annuaire des entités est structuré en 3 catégories.



Liste des données du nouvel annuaire.
Comment et dans quel cas vont s’opérer les mises à jour ?

Il est important de prendre en compte les différentes informations et données constituant l’annuaire des entités. Nos équipes d’experts sont à même de vous proposer un accompagnement sur la mise en place des process pour l’établissement des données et du mode de fonctionnement à adopter.
ICD INTERNATIONAL est un acteur majeur de la facture électronique, nous conseillons la majorité de nos clients dans cette conduite du changement pour un passage de la réforme dans les meilleures conditions.
Juin 24, 2021 | Actualités, Dématérialisation des factures, Loi de Finances 2020
Dans la continuité des ateliers destinés à la mise en œuvre de la facture électronique (Article 153 de la Loi de Finances 2020),
ICD International a le plaisir de vous rendre compte des règles sur le
Cycle de Vie et Statuts de la facture électronique établie par la DGFIP.
Pour avoir le compte-rendu des derniers ateliers veuillez suivre ce lien :
https://www.icdint.fr/category/dematerialisation-des-factures/
Objectif du Cycle de Vie et Statuts de la facture électronique
Comme il a été évoqué lors des précédents articles, la plateforme CHORUS Pro fera office de Plateforme Nationale Publique.
A ce jour CHORUS Pro, traite l’ensemble des factures destinées et émises entre entreprises privées et entités publiques (B2G).
Demain, la plateforme CHORUS Pro sera en mesure de traiter les factures émises et réceptionnées entre entreprises du secteur privé (B2B).
Pour une meilleure gestion des statuts des factures, un cycle de vie a été établi par la DGFIP.
Celui-ci répond aux 4 enjeux suivants:
- Offrir une vision partagée du traitement de la facture pour l’ensemble des acteurs intéressés (émetteur, récepteur, administration)
- Déterminer une liste et un format d’échange des statuts permettant d’assurer l’interopérabilité entre les acteurs (entreprises, plateformes privées, plateforme publique)
- Détailler le processus de traitements des rejets et annulations de factures
- Faciliter le pré-remplissage de la déclaration de la TVA
Les bénéfices issus de ces 4 enjeux sont :
ENTREPRISES – dans leur rôle d’acheteurs et de fournisseurs
- Réduction de la charge administrative du suivi du traitement
- Réduction de la charge administration liée à la gestion de la TVA
- Meilleur suivi des délais de paiement
- Meilleure visibilité et réduction des litiges
ETAT
- Meilleure connaissance de l’activité des entreprises
- Les statuts permettent à l’administration de savoir si une facture a été réceptionnée par le bon client, s’il a accepté ou non en vue de l’émission d’une facture rectificative
Quels sont les différents statuts adaptés ?
Schéma de principe du Cycle de vie de la facture électronique
Statut du rejet des factures sur la plateforme publique ( article 153 de la PLF 2020 )

Schéma de principe des statuts des factures électroniques sur la plateforme publique

Règles des statuts de la facture électronique
Focus sur les rejets des factures
La facture dans de nombreux cas est contestée et/ou peut être rectifiée.
Que ce soit à l’initiative de l’émetteur de la facture ou suite au rejet du récepteur.
Les 3 cas de rejet de factures :

Statut du rejet des factures sur la plateforme publique ( article 153 de la PLF 2020 )

Statut du rejet des factures sur la plateforme publique ( article 153 de la PLF 2020 )

L’ensemble de ces règles constitueront après validation par la DGFIP du cycle de vie de la facture. Ces statuts sont applicables à tous les secteurs et tous types de factures. Afin d’évaluer l’intérêt de ces statuts au sein de votre entreprise, n’hésitez pas à nous envoyer vos cas d’usage et vos questions.
ICD INTERNATIONAL est un acteur majeur de la facture électronique . Nous accompagnons plusieurs centaines de clients dans cette conduite du changement pour un passage de la réforme dans les meilleures conditions.
Juin 10, 2021 | Dématérialisation des documents, Dématérialisation des factures
Depuis l’annonce de l’article 153 de la Loi de Finances 2020, ICD International a l’honneur de participer aux différents ateliers animés par la DGFIP (Direction générale des Finances publiques). Ces ateliers détermineront les modalités techniques et opérationnelles de l’application du décret. Nous avons le plaisir de vous rendre compte des avancées en la matière suite au cinquième atelier de travail sur le e-reporting effectué au mois de Mai 2021.
Définition et objectifs :
Le e-reporting correspond à la transmission des données de transactions réalisée par un assujetti à l’administration fiscale, sans transfert au client.
Cela vise les opérations ne donnant pas lieu à facturation et/ou entre non-assujettis.
L’objectif principal du e-reporting vise au pré-remplissage des déclarations de TVA et de la lutte contre la fraude.
La France s’inscrit dans une démarche mondiale. Certains pays ont déjà mis en place ce système comme le Portugal, l’Espagne, la Russie, l’Italie,…
Schéma général et principe:

L’e-reporting peut être déposé, quelle que soit sa forme :
- soit directement sur la plateforme publique (e-reporting direct) ;
- soit par l’intermédiaire d’une plateforme privée qui adressera les données à la plateforme publique.
Ensuite, ces données sont collectées par la plateforme publique dont le flux de données alimentera les applications de l’administration fiscale en vue du pré-remplissage des déclarations de TVA et de lutte contre la fraude.
Quelles données devront être transmises obligatoirement?
Si vous êtes fournisseur :
- Livraisons de biens et prestations de services (PS) intracommunautaires (au sein de l’UE) ;
- Exportations de biens et PS réalisées au profit d’entreprises hors UE ;
- Les opérations vers les collectivités d’outre-mer (nb : les opérations avec les DOM seront dans le e-invoicing).
Si vous êtes client/acheteur :
- Les acquisitions intracommunautaires de biens et de services – réalisées en France ou non ;
- Les acquisitions de biens et de services à des opérateurs hors UE (hors importations) – situées en France ou non.
Cas particulier lié au territoire français de TVA (France et Monaco = territoire unique en matière de TVA) : les opérations à destination de / en provenance de Monaco devraient être intégrées dans l’e-reporting.
Les opérations exclues du e-reporting
Les importations
- Les opérations réalisées par une personne morale non assujettie telles qu’une association à but non lucratif et les opérations entre non-assujettis
- Les opérations exonérées et dispensées de facturation visées par les articles 261 à 261 E du CGI (formation, activités médicales, certaines opérations financières et bancaires…).
Quelles seront les modalités de transmissions et de fréquence du E-reporting en B2B ?
En fonction du canal de transmission, les données à transmettre vont différer. En matière de B2B international, une facture est obligatoire.
Comme pour le e-invoicing, le e-reporting suit le même circuit. La transmission des données peut s’effectuer d’une part via la plateforme privée certifiée qui, elle même, le transmettra ces données à l’administration fiscale. Autrement, elle peut les envoyer directement à la plateforme publique.
De même, les données à transmettre sont identiques à celles du e-invoicing. En effet, les règles de facturation françaises s’appliquent aux deux. Toutefois, une différence s’opère sur la limite du n° identification client. Elle ne s’effectuera pas sur le SIREN, mais le n° de TVA intracommunautaire pour les clients au sein de l’UE et le n° de registre national pour les opérateurs hors UE.
Attention : Le e-reporting ne remplace pas la déclaration d’échanges de biens et de services (DEB/DES).
A la différence de l’Espagne qui a choisi un modèle d’e-reporting uniforme, la France opte pour une fréquence de transmission adaptée à l’activité de l’entreprise, c’est-à-dire en fonction de son régime d’imposition. Toutefois, cette flexibilité n’empêche pas d’atteindre l’objectif du pré-remplissage des déclarations TVA.
Pour les entreprises au régime réel normal :
- un reporting hebdomadaire dans les 4 jours suivant la fin de la semaine.
Pour les autres entreprises (micro-entrepreneurs, régime de la franchise en base, régime simplifié (RSI)) :
- un reporting mensuel dans les 7 jours suivant le dernier jour du mois.
Modalités pour le B2C ou les personnes morales ou non assujetties
D’une part, les commerces visant le B2C devront déposer sur la plateforme publique en format structuré le ticket Z. Ce dernier récapitule les transactions quotidiennes globales des opérations par mode de paiement.
D’autre part, l’entreprise émettant des factures utilisera le même canal de transmission à l’administration que pour les factures B2B (sans transmission au client).
Enfin, si une entreprise non équipé informatiquement devra envoyer certaines informations via une saisie sur portail ou via l’envoi de fichiers formatés par opération. Elles comprendront le taux de TVA, le montant de TVA, le motif d’exonération le cas échéant, la devise si elle diffère de l’euro et l’identifiant client.
ICD International reste à votre disposition pour tout complément d’informations sur les modalités techniques d’application de cette loi.
Nos experts mettent en place des audits à l’ensemble de nos clients désireux d’évaluer et d’anticiper les éventuels changements afin d’être en règle avec la législation future.
Avr 23, 2021 | EDI
Combiner IA et blockchain pour augmenter la valeur de vos flux EDI
L’EDI est une technologie qui existe depuis les années 90 et qui évolue constamment. En 2020, 85% des flux de la supply chain étaient traités en EDI dans le monde. Dans cet article, nous expliquerons pourquoi l’EDI reste d’actualité dans la supply chain. Puis nous verrons comment les technologies émergentes se positionnent pour apporter une réponse à la demande croissante de synchronisation et de partage des données entre différents acteurs.
L’EDI, une technologie vieillissante ?
Qu’est-ce que l’EDI ?
L’EDI permet d’échanger des données informatisées entre deux sociétés, plus précisément entre deux systèmes d’information. Il est possible d’échanger tout type d’informations et d’intégrer automatiquement ces flux aux systèmes d’information.
L’EDI est couramment utilisé pour échanger des flux concernant des:
- Commandes
- Livraisons
- Facturations
Mais des standards EDI existent également pour dématérialiser bien d’autres types de documents, comme des fiches tarifaires, des référentiels produits, des ordres de transport…
L’EDI : quand les formats et les normes évoluent
L’EDI existe depuis les années 90, et a émergé dans l’industrie automobile, le secteur bancaire ou la grande distribution.
De nombreux secteurs d’activité ou professions se sont depuis organisés. Le but étant de définir des normes, puis d’établir des protocoles spécifiques à leur activité, au type de flux, au besoin d’échanger des données en temps réel, à la zone géographique concernée… Ces communautés professionnelles ont largement contribué à l’adoption massive de l’EDI par les entreprises, tous secteurs confondus.
L’essor d’Internet et l’intensification de la digitalisation des échanges ont permis de fiabiliser les flux et de réduire le coût de transport des messages. L’EDI est une technologie qui s’enrichie en continue, au gré de l’émergence de nouvelles technologies.
L’EDI évolue en se combinant à d’autres technologies
La blockchain, le cloud et les réseaux d’API sont des technologies récentes qui sont complémentaires à l’EDI. Elles permettent de répondre à de nouvelles problématiques clients qui ne sont aujourd’hui pas parfaitement traitées par des standards classiques EDI, comme la connectivité.
L’EDI ne va pas disparaître, mais vivre une transformation. Le fait de passer par le cloud représente non seulement un gain de temps et d’argent pour les échanges entre deux partenaires, mais également un moyen :
- D’accéder à d’autres partenaires de manière tout aussi rapide
- D’automatiser un certain nombre d’opérations
- De traiter un volume d’information beaucoup plus important
- De traiter les flux d’information plus rapidement
Combinées à l’EDI, ces nouvelles technologies permettent à la supply chain de gagner en agilité et connectivité, malgré la complexité et l’hétérogénéité des flux de données.
Pourquoi l’IA, la blockchain et les API viennent compléter l’EDI ?
Les supply chain sont devenues plus étendues et plus complexes, ce qui exige une connectivité sécurisée, fiable, mais surtout transparente. Une des limites de l’EDI, tel qu’utilisé jusqu’avant, était qu’il fonctionnait entre un partenaire A et un partenaire B. Dès qu’il y avait d’autres acteurs, il fallait répliquer les messages entre eux pour maintenir un même niveau d’information. Avec le volume croissant des échanges et la diversité des formats, conserver une cohérence sur l’ensemble des transactions devenait très compliqué.
Les réseaux EDI vont continuer à jouer leurs rôles dans la supply chain et des technologies externes vont prendre le relai pour répondre à ces problématiques :
- La blockchain pour assurer la transparence dans les échanges
- L’intelligence artificielle pour pouvoir utiliser ces données
Comment la blockchain complète les flux EDI
La blockchain sert de registre partagé par tous les acteurs de la supply chain. Il permet de fixer les différentes informations qui transitent. Toutes les informations qui y sont notées restent immuables. La blockchain apporte une couche transactionnelle qui permet à la fois d’avoir les messages EDI communiqués point à point, et de les compléter avec les informations provenant d’autres services. La collaboration est plus transparente entre les différentes parties prenantes, mais également plus efficace (pour détecter les erreurs en amont ou compléter les informations).
Comment l’intelligence artificielle complète les flux EDI
Toutes les données générées sur la supply chain, l’IoT (les objets connectés) ou des sources de données externes pertinentes doivent pouvoir être exploitées. Le rôle de l’intelligence artificielle est alors de connaître les flux, leur nature et leurs enjeux métiers. A partir de cette collecte, elle extrait l’information exploitable et ainsi permet aux entreprises d’agir dans leur périmètre. Par exemple, vous avez une commande et il y a un défaut de réfrigération du transport. Au lieu de savoir à la réception de la commande qu’il faut la détruire et refaire une commande au fournisseur, l’IA peut détecter l’erreur en amont et permettre aux entreprises de prendre des actions correctives bien plus tôt.
L’IA permet d’agir sur 4 points clés :
- L’alerte: donner les informations sur un risque potentiel avant la deadline
- La compréhension : prévoir « l’effet domino » de ce risque
- La résolution: extraire les éléments pertinents pour aider l’opérateur à trouver une solution
- L’apprentissage : l’IA va gagner en expérience et proposer des recommandations de plus en plus pertinentes et ciblées.
Finalement, les entreprises partent de l’EDI (ou du réseau d’EDI). Ensuite, elles ajoutent des technologies supplémentaires pour mieux adresser les nouvelles problématiques qui émergent. L’EDI n’est donc pas une technologie vieillissante. Toutefois, il faut la combiner avec l’IA, la blockchain et le cloud pour augmenter la valeur de ses flux.